Le passé d'Oma de Sala

Ce fût il y a bien longtemps, dans un orphlinat éloigné de tout et tenu par un mage sans prétention.
Les temps étaient calme et la vie se résumait à travailler la terre en s'aidant de petit sort de base; un peu d'irrigation ici, bruler les déchets par là, guérrir des petites blessures, retourner rapidement la terre...

Parmis les enfants on retrouvait Eldiann, Musishatorix, Tabatha, ...

un beau jour, des cavalier arrivèrent au grand galop, il étaient de noir vétu et avaient le regards sombre. L'un d'eux tenait un landeau dans les bras et le tendit au mage:
"Prenez en soins, il le mérite."
"Mais.... qui est-ce?"
"Appelez le Oma de Sala!"

le mage n'eut pas la chance de poser d'autre question que les chevalier furent déjà loin.

En regardant dans le landeau, il pouvait voir l'enfant et quelque affaire: baguette, pendentif, amulette, bague et un parchemin dont le sceau était déjà rompu.
Il ne put s'empecher de l'ouvrir et de le lire.

Citation :

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La langue des anciens, mais comment... et qui?

Les enfants de l'orphelinat arrivant, le mage cachat les affaires sous sa roube afin que personne ne soit au courant de l'existance de ces pieces. Oma fut directement accepté par les enfants qui se faisaient une joie de le dorloter.


il n'y avait plus rien à faire qu'a l'élevé.

Quand Oma est arrivé a l'orphelinat, il ne devait avoir que quelque mois, six tout au plus.
et depuis, le mage prenait un soins particulier à lui enseigner ce qu'il savait; surtout le respect de la vie sous toutes ses formes.

il fallut deux ans pour qu'Oma se décide à marcher et deux de plus pour qu'il parle. Il semblait retenir les enseignements de son maître et en demandait toujours plus. il adorait passer du temps avec les autre enfants.

Tout serait pour le mieu si il n'y avait se problème de brutalité. Oma n'était pas vraiment méchant, juste brute. brute avec lui-même, brute avec les autres.
Ceci inquiétait le mage. Oma apprenait très vite les sort de base que les autres enfants utilisaient. Il n'était pas nécessaire de les lui enseigner, il observait, retenait et utilisait.

Mais il est si jeune, il n'a pas encore la maturité nécessaires pour ce servir de la magie. Les autres enfants trouvait cela amusant de voir un si petit bout jouer avec le feu ou l'eau, mais le maître lui ne le voyait pas ainsi...

cela faisait dix ans qu'Oma etait arrivé à l'orphelinat.

Le vieux mage avait appris tous ce qu'il savait aux enfants. Ils avaient fonder un cercle qu'il appelait "Article 50". Oma en était devenu le chef de fait de sa puissance.

le maître était iniquiet pour l'avenir des enfants et surtout celui d'Oma. il avait p.eur qu'ils ne partent vers le mal guidés par Oma qui n'avait pas fait son choix.
A chaque fois qu'il parlait avec Oma sur la vie, le bien et le mal, les choix à faire sur le chemin de la vie, il se heurtait aux vision inquiétante qu'Oma avait.

"Pourquoi spécialement faire le Bien? il n'y a aucune raison de faire le Bien, pas plus que le Mal"
"Faire des choix? oui, bien sur, mais on peut toujours changer d'avis. rien n'est éternel."

C'est ainsi que parlait Oma, et cela inquiétait vraiment le maître.
Le bon coté des choses, c'est qu'il navait pas choisi de faire le mal , mais il n'avait pas choisi le bien non plus.

- Oma,
- Oui Maître?
- Il faut que je te parle
- J'arrive.

Le maître prit Oma à l'écart de tous, dans une pièces où aucun enfant n'était jamais venu.
- Où somme nous Maître?
- Nous sommes dans une pièces protégée par un charme. il n'est pas très puissant, mais c'est le plus puissant que je connaisse.
- Dans ce cas, il doit être le plus puissant de tous!
- Non Oma, attends, ce que j'ai à te dire et à te montrer est très important.
- Tu sais que l'on t'a emmené ici il y a longtemps.
- Oui dix ans.
- Ecoute. Lorsqu'ls sont venu...
- Qui?

Oma avait la facheuse habitude de tout vouloir tout de suite, la patience n'était pas son fort

- ....les cavaliers qui t'on emmené, ils m'ont tendu un landeau avec toi, mais aussi avec des affaires...

Le maître laissa en temps s'écouler, Oma qui était d'habitude si bavard se tut et fronçât des surcil. il comprenait que si son maître s'était tut, c'est que c'était vraiment grave.

- Ce sont des objets magique. Je ne connais pas leurs puissance ni leur effets. Je ne pourrai pas t'apprendre à t'en servir, juste te guider... si tu le veux. Je ne connais pas ta destinée, mais retient toujours que ce n'est pas la destination qui compte, mais le chemin que tu prendras. Tu dis toujours que les actions qu'on fait ne sont jamais que Bonne ou Mauvaise, mais elles ont toujours des implication. Je sais que tu es jeunes et que cela doit te sembler si soudain, mais tu doits savoir, tu devais les recevoir.

Oma pris le landeau devant lui et effleura les objects quelque secondes. Le premier object qu'il pris fut le pendetif.
- il me parle...
et le mit autour de sont cou.

- Comment ça il te parle?
- il me parle!

Oma ne dit rien de plus et ressortit le parchemin du lendeau.

- Le sceau était ouvert quand tu est arrivé, et je l'ai lu, je te demande pardon. c'est une langue ancienne qui n'est plus utilisée. Je la reconnais, mais ne sais pas la lire, je ne sais même paas si quelqu'un sait encore la lire.

"les élément comme véhicule"...."habitant la mort"...."Souffle"..."Travail" ... "lion victorieux"..."temps"..."douleur" ... "vie" ... "éternité" ... "choix"

Il savait le lire!!! Oma savait lire le texte!!! Comment???


tous s'accellera à ce moment, le sort de protection s'épuisait très vite...

- Oma, prends ces affaires elle sont à toi!

le maître courrut vers l'extérieur voir ce qui se passat.

Pendant ce temps, Oma se depêcha d'enfilé la robe qui se trouvait dans le landeau et de prendre le reste des affaires qui s'y trouvait. chaque object avait sa place dans la rebo et celle-ci s'emblait vivante et s'adapter à lui.

lorsque Oma sortit, il vu que tout était détruit, le maître gisant au sol et ses amis autour.

"Encore un, je vais vous tuéééé"
Malakit se jetait sur Oma pour l'attaquer avec un sort de feu.
Oma d'un simple geste de la main fit volé Malakit en criant son nom.

"Où était tu!" criat un des ses amis qui le reconnaissait enfin
"Que faisais-tu pendant qu'ils attaquaient"
"Qu'elle sont ces habit?"
"Pourquoi as tu changés"


Oma ne comprenait pas, cela ne fesait aque quelque seconde que son maître était sortit?
s'était-il passé?

"ne lui en veut pas" dit le maître "il n'y est pour rien, c'est le sort"...
Oma accourut auprès de son maître
"Quel sort?, maître quel sort?"

- Oma je ne sais pas qui tu es, mais tu as devant toi une longue route qui ne sera pas toujours facile. tu as un pouvoir en toi qui dépasse tous ce que je peux imaginer. Promets moi juste d'en faire bon usage. Promet moi que même si tu ne choisi pas le Bien pour le Bien, que tu choisira pas le Mal non plus, je t'en prie. je vous en prie les enfants prenez soins de vous et ne chercher pas la vengeance.

Le maître dont la voix n'était déjà plus audible s'abandonna à la mort qui venait le chercher, en espérant que ses enfants reste sur le bon chemin.

Grace à la magie, l'orphelinat détruit fut transformer en une magnifique sépulture pour le maître.

une longue discution s'en suivit. Les amis d'Oma n'arrivait pas à lui perdonner sont absence, sont pouvoir, sa présence. Le chagrin les aveuglaient. Ils ne voulurent plus entendre parler de magie, de cercle et décidaire de partir chacun de sons coté vivre une vie simple.

Oma avait beau demander qui était responsable, il n'obtenait aucune réponse.
Sa colère fut grande et son envie de vengeance énorme. Mais contre qui?

Oma se mit alors en route, seul. En regardant derriere lui, il vit un bout de parchemin brulé

Citation :

eau d'Izaii

Qu'est-ce? une fontaine? une rivière? Il mit le papier dans sa poche et entamma son voyage.

Il savait huit choses
- Si tu ne contrôle pas le feu, il te contrôlera et te consummera de l'intérieur
- Si tu n'est pas en paix avec toi même tu ne pourra guerir
- Si tu n'est pas assez calme tu ne pourra controler le vent
- Si la vegeance guide tes pas tu ne pourra contrôlé l'eau
- Si tu n'as pas confiance en toi tu ne controlera pas la terre
- Si tu n'est pas déterminer, les ombres te perdront
- Si tu veux avoir toute ta force, il te faudra t'accepter tel que tu es pour ce que tu es.
ces sept enseignements étaient l'héritage que son maître lui avait laissé.

la huitième, chose qu'il savait, c'était de quoi il disposait: de la détermination.
Détermination pour devenir le plus fort des mages afin de pouvoir protéger ses amis et le meilleur guérisseur pour pouvoir soigné ses amis.

Ensuite, peut-être oubliera-til son désire de vengeance.

jolie bravo !!!

:merci:
La suite demain.....
si je suis inspirer

3M

Je n'avais jamais fait attention a ta présentation. Elle est très sympa, bravo !

Tu dois etre en panne d'inspiration pour la suite, dommage, j'aurais aimer la lire...

j'ai plein d'idée, mais faut les mettre en formes....

Il n'y a plus qu'a... alors ! lol

faudrait peut-être mettre ce post dans RP et que je mette une simple fiche ici? t'en penses quoi?

Tout dépends de la longeur du texte. Si ca fait 4 ou 5 pages, en effet il serait judicieux de déplacer ce post.

Vu le nombre d'idée que j'ai, il y a de quoi écrire un livre..... 3b

Ton livre pourrait faire l'objet d'un Rp Spécial Oma

Cela faisait plusieurs jour que Oma de Sala avait quitté la vallée de l'orphelinat. Il en voulait énormément à ses compagnons d'avoir abandonné la magie, lui qui voulait tellement devenir le meilleur mage pour rendre fier son maître. Maintenant qu'il n'était plus, il avait encore plus l'envie d'y arriver. Mais il les comprenait; continuer à utiliser la magie rappellerait toujours leur maître à leur mémmoire, mais rien n'y fit, Oma avançait.

Au détour d'un chemin, il vit deux personnes s'amusant à faire souffrir un jeune cerf. Oma ne put s'empêcher de pensé a son maître,blessé à terre, occupé à souffrir, et vit la même souffrance dans les yeux de cette animal. Son sang ne fit qu'un tour, et en un instant, Oma lançat une gerbe d'éclairs verts entourés d'un nuage noir épais vers les deux personnes. Celle-ci furent tué sur le coup, leur corps étaient atrocement mutilé.

Lorsqu'Oma reprit ses esprit, il se rendit compte de ce qu'il venait de faire.
Comment ai-je pu faire ça, comment?
Oma avait peur de ses propre pouvoir. Il ne se contrôlait pas, et se rendait compte qu'il était un dangé pour les autre. Il en eut encore plus conscience lorsqu'il se tourna vers le cerf et qu'il vit que l'animal aussi fut touché part les éclairs.

Il prit une décision: quitter les vallées habitées pour se rendre aux Monts des Damnés.!
La-bas, il ne croiserait personne, et il pourrait se libérer de sa rage et de sa haine qui le rongeait de l'intérieur.

Avant de partir, Oma dessapât ce qu'il restait du cerf et emportât ce qu'il put de nourriture car il savait que là où il allait, il n'aurait pas beaucoup de nourriture.

kalys a écrit:

Ton livre pourrait faire l'objet d'un Rp Spécial Oma

Si vous le trouvez suffisamment bnien et qu'il y a de quoi en faire un bon livre, pourquoi pas.....
Mais je devrai changer de nom, car je pense qu'il y a un copyrigth sur le nom d'Oma de Sala......
Dommage, je l'aime bien...
3f

Te casse pas la tête, on ne te dénonceras pas au CSA.

Il n'avait fallut que quelque jour à Oma pour atteindre les Monts des Damnés. Il avait pris soins de prendre les chemins les plus difficile de sorte à ne rencontrer personne. C'est déterminé qu'il se lançât vers les sommets. Ils ne savait qu'une chose, c'est que cet endroit était froid, sombre et sans fin. C'était ce dont il se souvenait des histoires de son maître, les légendes racontaient que nul n'était jamais revenu des Monts. Qu'a cela ne tienne, il continuait sa route. Revenir n'était pas sa priorité.

Le premier sommet semblait proche, pourtant il fallut deux jours à Oma pour l'atteindre. La température avait fortement baissée, et un froid transpercent s'était levé. Du premier sommet, Oma eût un aperçût de ce qui l'attendait: Une couverture nuageuse tel qu'aucun lumière ne semblait atteindre le sol, des tempêtes de neige et de gèle, un vent effroyable...

Mais il n'avait pas le choix. Il s'était fixé un but, et ne pouvait renoncer aux premières difficultés.

Il fallut deux jour pour atteindre la première vallée. Oma avait les poumons qui le brûlait à cause du froid. Ses main étaient de plus en plus glacée. Sa cape le tenant bien au chaud, Oma décidât de la portée de sorte à mieux se protéger. Il retirât ses bras de ses manches, et se servit de celle-ci comme écharpe pour diminuer au maximum le froid sur son visage, et ses bras sou la cape lui permis de se réchauffer les mains. Mais cela n'avait pas que des avantage; le vent le déséquilibrait et la neige qui tombait à gros flocon ne lui permettait pas de voir sur quoi il marchait. Plus d'une fois il tombait, et cela le mettait dans des rages folle. Il hurlait sa rage, faisait de grand mouvement pour se relever, mais ceux-ci le découvrait entièrement, ce qui le rendait dans une rage encore plus folle.

Petit à petit, Oma se résignât, remis sa robe comme elle devait être portée, et se remis en route. Il devint un peu plus sage, et décidât de régulièrement se servir d'une petit sort de feu pour se réchauffer les mains. Il prit le bon coté des choses, la nourriture qu'il avait dans son sac restait bonne car congelée.

Oma ne se rendait pas compte, mais cette épreuve qu'il traversait fût un très bon enseignement pour lui, mais fallait-il encore sortir de cet enfer.

agrid a écrit:

Te casse pas la tête, on ne te dénonceras pas au CSA.

:merci:

Désolé pour les multi post, mais j'ai déjà perdu deux fois mon texte, et ça c'est très grr

puis ça fait des coupure dans l'histoire, ça permet de passer d'un moment à un autre, un peu comme d'un chapitre à l'autre :-)

cela faisait deux semaine qu'Oma avait entamé la traversé, et comme il le redoutait, ses provisions venait à manquer. Il n'avait aucune idée du temps qu'il lui restait avant de pouvoir traverser cette enfer de vents et de glace. Il n'avait plus vu la lumière du jour depuis son départ, et il commençait à perdre la notion du temps. Ses forces diminuaient très rapidement, et le rationnement qu'il avait pratiqué pour tenté de garder de la nourriture le plus longtemps possible n'avait rien arrangé.

Oma décidât de se reposé pour la première fois. Sa fatigue était immense. Sa rage du départ et sa détermination des derniers jours lui avait permis de tenir le coup, mais là ils n'en pouvait plus. Il décidât de creuser un trou pour s'abriter et pourvoir dormir.

Mais le vents et la neige, en plus des ses main glacée, de la fatigue, il n'arrivait plus à creuser la neige trop gelée. il se servit bien de quelque sort de feu pour la faire fondre, mais c'était bien ridicule. Comment comparer l'énergie nécessaire pour e réchauffer les mains ou allumer un feu de brindille avec l'énergie pour faire fondre un trou dans la glace, et qui soit assez grand pour s'y abriter....

Il n'eut qu'une solution, s'asseoir dans sa robe en fermant au mieux les orifice afin de se tenir le plus au chaud possible.

C'est ainsi qu'il découvrit deux propriétés étonnantes de sa robe: d'abord, la suspension du temps!!!
C'était très étrange. Il avait réussit à s'asseoir sur sa cape et à refermer sa sa robe tout autour de lui, et en quelque instant, il vit les flocon de neige s'arrêter de tomber, le vent ne soufflait plus, plus rien ne bougeait, et plus un bruit ne se fit entendre.
Pour s'assurer qu'il ne délirait pas, il soulevât la partie de cape qui couvrait sa tête, et aussitôt, le vent se remit à soufflé, et la neige à tomber. Il ne lui en fallût pas plus pour se recouvrir et se protéger.
La seconde propriété, c'est qu'il pouvait voir au travers de sa cape. Elle était autour de sa tête, mais il pouvait voir dehors.... Il voyait que tout était figé! Ce n'était pas très utile dans sa situation mais il se disait qu'il pourrait sans doute s'en servir un jour.

J'ai encore beaucoup de chose à apprendre sur mon "héritage", mais dormir, d'abord dormir

Oma sombra dans un profond sommeil. Il était en sécurité, ses problème était mis en suspend. Pour un temps tout au moins.....


[HRP]
1° désolé pour les fautes de frappe, j'ai les doigts dyslexiques.....
2° suite au prochain épisode ;-)
[/HRP]

Lorsqu'Oma se réveilla, il se sentait bien. Il avait faim, mais avait retrouvé une bonne partie de ses forces. Il savait qu'il avait encore du chemin à parcourir et qu'il devait se dépêcher. Il concentrât ses forces, et se remit en route.
Le vent et le froid semblaient avoir durcit, mais il savait que ce n'était qu'une impression due aux heures passée au chaud dans sa robe. Mais ses souffrances n'était pas finies, à la faim, venait le problème du manque de soleil. Lui qui adorait tellement la chaleur douce et chaude des longues journées d'été, avait d'autant plus de mal à supporter cette nuit sans fin. Cela faisait déjà six semaines que ça durait, et ce manque commençait à saper son moral.
Il commençait à ce demander si il avait bien fait de se lancer dans cette direction, mais il fallait continuer. Il s'était promis de continuer, de ne pas baisser les bras.
Pourtant, plus d'une fois il avait pensé se jeté dans un de ces abîmes, mais une voix le rappelait à chaque fois, comme si quelqu'un ou quelque chose voulait qu'il continue.

Il avait du puiser au plus profond de ses forces et de sa volonté pour tenir, il ne manquait pas d'eau, et il ne ressentait même plus la faim.

Il ne regardait même plus devant lui, il avançait simplement, que pouvait-il faire d'autre? et c'est sans s'en rendre compte qu'il passait les sommets les uns après les autres, jusqu'au jour où il entendit un bruit différent... de l'eau qui coulait...

Il prit la peine de lever les yeux, et se rendit compte que le vent avait fortement baissé, et le ciel s'était éclaircit. Il vît qu'il n'y avait plus qu'une vallée et une dernière colline à passé pour sortir de cet enfer. ceci lui redonna des forces et il se remis a avancer à vive allure. la descente dans la vallée fut rapide et le passage du dernier mont un supplice. Ses jambes lui faisait horriblement mal, ses pieds gelé semblait écraser des épines à chaque pas, ses doigts était presque immobilisé, mais il continuait, la fin était là, juste au-delà de ce mont.

Enfin, il pouvait voir autre chose que la nuit et cette neige blanche...

Il venait d'atteindre la vallée au mille lacs, le soleil se couchait et se reflétait dans les lacs. descendre dans la valée, et se reposer. Demain, il trouverait à manger.