UN MYSTERIEUX COFFRE

Snubklorg voyant sa reine dans un triste état n'eut aucune hésitation ...

Il savait que les invocations étaient faibles en combats mais n'utilisaient que peu de mana ...

Agrid tenait la main de Kalys et paraissait mort d'inquiétude ... trop occupé à s'occuper de sa belle, pour une fois il n'en avait cure de s'occuper du feu protecteur.

Les autres mage conscient de la tristesse de leur roi se dévouèrent pour allumer un feu digne de leur roi.

Des souvenirs lointains revenaient à Snubklorg ... sa mère lui avait appris que sacrifier un Sylphe volontairement transformait le Sylphe en poussière des vents malins.

Il invoqua un Sylphe, puis l'embrassant, lui fit ses excuses. Puis le Sylphe implosa dans un silence à peine perceptible laissant virevolter des millions de petites poussières scintillantes que Snubklorg recueillit dans ses mains.

Sans que personne ne s'en aperçoive, Snubklorg fit un arc de cercle de poussière ainsi obtenue autour des mages réunis autour du feu.

Sa mère lui avait souvent vanté les pouvoir de protection des poussières de Sylphe obtenu par un Maître des vents, elle lui avait egalement dit que seul un Maître du vent pouvait obtenir cette poussière spéciale obtenue par le sacrifice volontaire d'un Sylphe.

Snubklorg s'approchait de sa reine inconsciente, se baissa, jeta un regard mouillé de larmes de douleurs à son roi puis s'approcha de l'oreille de Kalys et lui glissa :

Kalys, ma reine, ne te fais aucun soucis, nous sommes en sécurité, repose toi et reviens nous aussi belle et forte qu'à ton habitude, nous veillerons sur toi jusqu'à la mort

La nuit tombait, plusieurs êtres volant avaient tenté des attaques mais tous s'étaient heurté à un mur de diamant déchiquetant chairs et tout êtres vivant voulant pénétrer le cercle délimité par Snubklorg.

Snubklorg s'assit près d'Agrid, le feu illuminait le visage des deux mages laissant transparaître tristesse et inquiétude ...

[/b]Mon ami, couche toi auprès de ta reine et prends quelque repos, je te donne ma parole que je te réveillerai si notre reine devait ne serait-ce que bouger d'un millimètre ... Voilà des jours que tu ne prends que trop peu de repos à force de d'occuper de ton clan. Fais moi confiance et dors quelques peu, je vous garderais tous à l'oeil.[b]

Snubklorg epée à la main, se posta a quelques mètres de ces amis, s'assit sur un rondin de bois et fixait l'horizon prêt à bondir sur le premier danger qui pourrait passer son cercle de protection ...... ... ...

Agrid était mort d'inquiétude pour sa femme. Il l'avait rarement vu dans un état comme celui ci.
Il lui prit la main et resta à ses côtés jusqu'a ce que la nuit fasse place au jour. Snubklorg lui avait donné sa parole qu'il veillerait sur les siens alors le mage s'allongea.

La protection que Snubklorg avait lancé semblait être extremement efficace, aucun ennemi ne pouvait percer cette défense.

Snubklorg prends garde, ici ce ne sont plus harpies mais les gnomes qui règnent en maitre et nous ne sommes pas les bienvenues.
C'était la dernière pensée d'Agrid avant qu'il ne s'endorme.

Il était tard dans la nuit quand Agrid ouvrit les yeux, le feu crépitait toujours, un cauchemard l'avait réveillé. Il avait vu tout son clan mort, les yeux du mage se posèrent sur la Reine, elle semblait apaisé.

La potion d'Oma est efficace, je le sens.

Puis Agrid parcouru du regard l'ensemble de l'équipe, Moroza ronflait si fort qu'on aurait cru un sanglier. Il était difficile d'appercevoir Oma sous sa cape mais il était certain que ce mage avait sa droite posé sur son sabre.
Snubklorg quand à lui semblait un peu plus agité, Agrid n'aurait pas pu dire si c'était la nuit ou l'oppression des lieux qui rendait le mage nerveux.
Il se leva et s'approcha de son ami pret du feu.

un problème ?

Le mage avait raison d'etre inquiet, sa défense était sur le point de tomber.

Au loin on pouvait entendre le sol trembler, les ennemis étaient tout proche.

Prends tes armes et prépares toi pour la bataille, je prends place au plus pret de la Reine, aucun gnome n'ira jusqu'a elle.

Oma lèves toi, on va devoir laisser parler les armes une nouvelle fois. Protèges le vieil homme.

Le campement grouillait de créature. Agrid ordonna à son cerbère de protéger les chevaux.

Oma se mît debout les poings serrant ses armes.
Il réveillât le vieil homme et lui dit de rester derrière lui

Oma fermât les yeux et prît une profonde inspiration. Il était prêt au carnage.

Ils s'approchent, ils sont près, si près, trop près de l'orée du bois! que font-ils si loin du cœur de la forêt, ils ne venaient pas si loin avant. Pourvu que ce ne soit pas les créatures de l'air qui ont été introduite dans le sol qui les font venir si loin...

Le vieille homme ouvrît un médaillon pouvant contenir plusieurs fèves et prît la dernière qu'il possédait. Il chuchotait quelque chose mais Oma n'arrivait pas à entendre ce qu'il marmonnait.

Les gnomes arrivaient, s'enfonçant dans le sol et en ressortant plus près des mages à chaque fois!

ils vont passer par dessous de la protection, on est bloqué comme des rats, ils vont essayer d'arriver avant qu'elle ne soit tombée pour nous empêcher de monter en hauteur, le combat est inévitable
Oma parlait d'un ton posé malgré la rage qui l'habitait...

Venez mes petits, venez...
Oma qui s'était rapproché du sol avait enfin entendu les paroles du vieil home... il fût horrifié de ce qu'il venait d'entendre!!!

Ils les appels!! Il veut les nourrir!! Mais c'est de NOUS qu'ils vont se nourrir!
Oma venait de s'imaginer la scène et se préparait à frapper le vieil homme de toutes ses forces au moment où celui-ci lançât la fève un peu plus loin. À ce moment, un gnome sortit de terre, avala la fève et disparu à nouveau sous terre.
Un cri strident se fît entendre suivit d'une énorme déflagration. Une onde de choque déstabilisât les mages. Plusieurs autre cri strident se faisait entendre alors que plusieurs gnomes prenaient la fuite.

Oma en restait bouche bée.


Que c'est-il passé! demandât Agrid
Qu'as-tu fait! cria Oma envers le vieil homme.

Hooo, tu la voulais? Mais c'est pas grave, demain nous serons à la maison, il y en a encore plein à la maison

Oma restait abasourdit, il n'en revenait pas. Ce vieil homme n'avait pas l'air de se rendre compte de ce qu'il venait de faire, il était complètement sénile, pensait Oma.
Sénile, mais il venait de leur épargner un difficile combat!

Que c'est-il passé? redemandait Agrid à Oma en posant sa main sur l'épaule du mage énervé.
Oma racontât à Agrid ce que le vieil homme avait fait, du moins ce qu'il en avait comprit, car jamais Oma n'avait entendu parlé de ces fèves. Étaient-elles magiques? Naturelles? Il n'en savait rien. Et ÇA il détestait!

Ce n'est rien Oma, nous sommes sauf, c'est ce qui compte. nous resteront sur le chemin comme tu l'as dit et nous passerons par les arbres dès que nous le pourront. Et comme l'a dit cette homme, nous seront "à la maison" demain

Oma fixait Agrid droit dans les yeux. Agrid pouvait voir toutes la rage et la colère qui existait au plus profond d'Oma, ses yeux étaient noir profond, c'était comme si il n'y avait pas de fin dans son regard, comme si les yeux du mage était une porte vers l'infini, un infini noir parcouru par des éclairs d'un vert vif.

Qu'il en soit ainsi! Mais une journée, c'est le temps qu'il me fallait pour traverser le bois... seul. Ici nous sommes chargé de ce foutu coffre et avons des blessés.

Agrid comprenait qu'Oma était nerveux et qu'il valait mieux le laisser un peu à l'écart.

Le bruit des événements avait réveillé les derniers mages. Même Kalys était debout. Leurs regards interrogateurs n'obtenaient pas beaucoup de réponses. Agrid s'empressât de rejoindre sa bien aimée, pendant qu'Oma libérât les chevaux afin qu'ils puissent rejoindre leur écurie. En regardant au loin, on pouvait voir la silhouette de la maison apparaître dans la lumière du soleil qui se levait à l'horizon

une journée pour faire un si petit parcourt... si on arrive à rejoindre l'autre coté du bois en une seule journée, nous aurons bien de la chance. Elles auront réussi à nous ralentir ces satanées bestioles!

Agrid avait profité de l'éloignement d'Oma pour expliqué ce qui s'était passé et pour préparer le départ qui avait sonnée, il fallait se lancer, mais les mages savait qu'ils allaient encore devoir payer de leur personne.

Oma prît le vieil homme sur son dos, Agrid prît soins de Kalys, et le coffre fût emporté par les autres mages.
Une colonne s'était formée afin de pénétrer dans le bois, les arbres étaient monumentaux, sombre et effrayant, le sentier étroit sinueux, l'atmosphère lourde, l'air humide et il régnait un silence de mort.

Ils n'avaient pas le choix, c'était avancer ou pérrir....



[edit hrp]
Désolé pour la longueur, j'étais inspiré
[/edit hrp]

Heureux de voir que tu vas mieux ma Reine.

Agrid prit a tête du convoi, suivi de pret par Oma, Kalys était derrière lui, Snubklorg et Moroza fermaient la marche.

Cette forêt gigantesque était oppressante, le chemin étroit n'arrangait rien, on pouvait entendre des bruits aux alentours mais les mages étaient complètement aveugle tant la végétation était dense.
Agrid devait se servir de son épée pour couper les branches et les feuilles qui obstruaient le chemin.
Les mages avaient une bonne allure, malgrès la fatigue. Moroza était celui sur qui ca se voyait le plus, il trainait les pieds, révant d'une bonne nuit de sommeil sans bataille.

Plus les mages s'enfoncaient dans la forêt et plus il faisait sombre, c'était encore le matin mais la végétation bloquait le moindre rayon de soleil.

Au détour d'un virage, Agrid s'arreta, jamais le mage n'avait vu une telle chose.

Oma regarde cet arbre, il est immense.

L'arbre qu'il pouvait voir était monstrueusement grand, c'était sans conteste le plus gigantesque de la forêt. Il surplombait tous les autres d'au moins 100 pieds.

Continuons d'avancer.

En découpant une nouvelle branche, Agrid vu le le corps sans vie d'un gnome, une large trace de sang couvrait le chemin.

Quelque chose tue les gnomes, soyez sur vos gardes.

Les mages continuèrent d'avancer pendant de longues heures, en poussant une autre branche Agrid vit ce qu'il cru être le bout du chemin. Les rayons du soleil éclairaient le visage des mages. Ils étaient entrés dans une immense clairière, et c'était ici qu'il y avait le très grand arbre.
Tous les sorciers levèrent la tête pour tenter de voir ou s'arreter cet arbre.

Oma avait un large sourire sur le visage.

On est rendu? demandait un des mages?

il était déjà fin d'après midi, la question pouvait se poser. Oma avait bien dit qu'il ne mettait qu'une journée, et Agrid avait ouvert le chemin en utilisant sa force ce qui ne les avaient pas trop retenu...

hoooo non mes amis, on est à peine au cœur du bois
Seulement au cœur du bois? pourquoi es-tu si ravît alors?

Il n'y avait pas de sentier pour se rendre à l'arbre, ni pour le contourner... Comment dans ce cas suivre les instruction? "Ne surtout pas quitter le sentier"....

Mes amis, il va falloir utiliser nos bras!
Traverser le restant du bois de nuit est une mission suicide. Par contre, de la haut, la vue est superbe!

Oma sortit un poulet qu'il avait avec lui et le lançât un peu plus loin dans la prairie.
A peine celui-ci touchât le sole qu'une dizaine de gnome sortirent du sol pour l'attraper et ramener sous le sols.... il ne restait rien de visible du poulet, ni même du passage des gnomes... Les mages étaient tous stupéfait et horrifié.

Voilà pourquoi nous ne pouvons pas quitter le sentier, alors de nuit, avec la végétation, il est quasi impossible de ne pas pauser le pied hors du sentier
Les mages comprenait mieux les bruits qui semblait les suivre...

Oma ramassât alors quelques lianes, attachât un coté au coffre afin de pouvoir le faire monter dans les arbres, divisât l'autre coté de la liane pour l'attacher aux tailles de Moroza et Snubklorg.
vous aurez plus facile à grimper aux arbres ainsi.
D'ici, nous devrons d'abord atteindre la cimes des arbres, puis nous nous hisseront aux lianes qui pendent du Majestueux, puis nous grimperont jusqu'au sommet. Si il a résisté au temps, nous aurons un petit abri pour passer la nuit.


Les mages n'en revenait pas, Oma voulais monter tout en haut de cet arbre dont il ne pouvait même pas voir le bout, alors qu'il avait passé la journée à marcher au travers de cette forêt épaisse. Il devait être fou!

Oma avait le nez pointé vers le haut et semblait chercher quelque chose... Voilà celle là... il prit un main une longue et grosse branche qui semblait venir de haut dans un arbre et dont l'extrémité était emmêlée dans la végétation proche du sol, sortît son katana... Accroche toi vielle homme, ça va secouer.... et coupa le bout de la branche!

Oma décollât du sol et s élevât de plusieurs dizaine de mètres en une foi... voilà ce qui devait lui donner son grand sourire. il savait déjà comment il allait monté au sommet des arbres. Les autres mages eurent vite finit de le rejoindre au sommet des arbres du bois, ou Oma avait déjà commencé a rassembler plusieurs lianes. Celles-ci était peu nombreuses, mais Oma semblait savoir lesquelles choisir.
Ici, il faudra quand même travailler ses bras, car nous ne monterons pas assez haut. Une fois les premières branches atteintes, dirigez-vous vers le tronc tout en montant aussi vite que possible, et faite attention à ne pas tomber, nos pouvoir magiques sont de plus en plus faible, et vous n'auriez aucune chance de vous remettre d'une telle chute.

Le temps que tout le monde arrive à la cime du Majestueux, le nuit commençait à tomber.
Il y avait au Sommet de cette arbre un plancher fait de branche attaché entre elle par des lianes. Ce n'était pas des branche mortes, mais des branche de l'arbre qui avait été attachée ensemble afin que l'arbre pousse ainsi. Le plus étonnant, c'est qu'il y avait des fleur sur le haut de l'arbre, alors qu'ils n'en avaient pas vu dans le bas, ni même dans le bois.

La vue était splendide, ils pouvait voir à des centaine de lieu à la ronde. Les souverain regardait dans la direction d'où ils venait en disant Là-bas, c'est notre château!...
Et là-bas notre destinée
Oma regardait dans l'autre sens, vers des montagnes noires et inquiétantes.
Que vois-t-on là-bas, au pied de ces montagnes?
Un peu en aval des montagne brillait un lieu plus clair, un peu de lumière dans une région sombre, dedans se dessinait quelques petites tours au toit courbe.
C'est le sanctuaire, je pense que c'est ce que le vielle homme appel "chez lui". C'est de là que vient cette force qui m'appel. La lumière y est douce, la végétation riche et accueillante, et on y trouve les stèles!

Oma fît demi tour et allât attraper des mousses et lichen sécher sur le haut de l'arbre, les posât sur le sol pour en faire des couches et s'allongeât. Il faisait encore clair, mais Oma se couchait déjà.

Il n'y a pas de sentier de l'autre coté du bois, il faudra rester dans les arbre si on veut terminer la traversée, alors bonne nuit!

La montée vers le sommet de cet arbre fût agréable bien que fatigante, mais les nouvelles qu'Oma venait de donner laissait présager une bien difficile journée pour le lendemain... passer d'arbre en arbre avec le coffre... heureusement, les effets secondaire des plantes qu'Oma avait appliqué à Kalys avait disparût....

Passer la nuit dans ce arbre majestueux était pour Kalys un réel plaisir.

Dommage que ce soit dans de telles circonstances.

Un radieux coucher de soleil ... une belle nuit au clair de lune ... les soins de Oma lui avaient donnée un regain d'energie incroyable.

Décidément Oma était vraiment imprévisible Kalys souriait à cette seulement pensée.

Agrid semblait soucieux, jusqu'au moment où Kalys l'emmena tendrement vers un espace aménagé rien que pour eux.
Elle se blottit dans les bras vigoureux qu'elle aimait tant puis, s'endormit paisiblement depuis bien longtemps.

Agrid reçu une message télépatique de sa belle : nous reviendrons ici tous les deux quand le temps sera venu ... mais il n'était pas certain de comprendre. Sur ces pensées, il se laissa à s'endormir pour rejoindre sa dulcinée.

Moroza ronflais paisiblement depuis fort longtemps. Il rêvait qu'il était au château avec tout ses amis et que lui et Snub rigolaient de leurs mésaventures en se goinfrant de sanglier et de cervoise.

Mais plus que la nuit avança, plus le rêve de Moroza s'assombrissait, la belle citée avec sa verdure et ses lacs étaient rendu que roc et poussière le beau château qu’il aimait était rendu que ruine, le peuple qui y vivait était que cadavre et ses amis que cendre sur un buché.

Moroza était dévasté, tout ce qu’il chérissait avait disparu, disparu a cause d’un coffre un coffre maudit, maudit par un maléfice...

Moroza se réveilla soudain tout en sueur avec hargne et le seul envie de détruire la raison du pourquoi ils sont tous là. C’est a dire le coffre...

Le soleil se leva tranquillement et Moroza lui s’assoyait en attendant que les autres se réveils.

Les premiers rayons de soleil qui venaient se poser sur le visage d'Oma suffirent pour le réveiller. Il se levât et montât aussitôt de quelques branches et fît un passage dans le branchage afin que quelques rayons de soleil puissent venir baigner les quelques fleurs en boutons qui se trouvaient là.
Aussitôt, les boutons furent changés en superbes fleurs qui ensuite devinrent de beaux fruits.

Oma allât ensuite les cueillir et les posa sur le plancher. Il en gardât deux en mains, se dirigeât sur le bord des branches face au sanctuaire.

Il fût rapidement rejoint par les autres mages. Le petit déjeuné fût prit au silence. Tous voyaient leur destination, le sanctuaire et derrière, les gorges du diable.

une fois le petit déjeuné avalé, les mages se levèrent en rassemblaient leur affaires.

Oma se dirigeât vers le bord opposé à leur destination de l'arbre et fît face à leur destination, le vieil homme attaché dans son dos, il semblait qu'ils avaient toujours été ensemble, tellement ils se tenaient ensemble de façon naturelle.

Oma se lançât alors à toutes vitesse vers le sanctuaire et sauta le plus loin possible vers l'avant...
Qui m'aiment me suiiiiiiiiiiiivent!

Oma se tenait les jambes et les bras légèrement écartés, pas tout a fait tendu, planant pendant plusieurs dizaines de secondes avant d'atteindre les branches des arbres du bois.
Les branches des arbres plièrent sous le poids et la vitesse des deux hommes, et il fallut plusieurs secondes avant de les voir ressurgir au sommet des arbres...

La densité des arbres avait amortit la chute et surtout avait évité au deux hommes de se retrouver sur le sol...



Toujours aussi imprévisible ce type! Agrid esquissait un grand sourire en regardant Oma se balancer sur sa branche tout en regardant ses amis encore dans le Majestueux, l'idée d'un tel saut pour commencer sa journée plaisait bien au roi, une dur journée qui commençait par un bon moment.... pourquoi pas...

Agrid prît la main de sa belle la regardât en souriant, reculât et...

Après quelques pas d'élan, Agrid et Kalys sautaient à leur tour, dans un puissant cri de plaisir, le mage se retourna pour crier à Snubklorg,

N'oublis pas le coffre !

Agrid et Kalys se regardèrent dans les yeux, un grand éclat de rire se fit entendre avant qu'ils ne disparaissent dans la végétation.

Les larges feuilles avait amorties la chute le chute des deux mages. Oma leur faisait face avec un large sourire. Il aida sa Reine à se relever puis quelques secondes plus tard c'était au tour de Moroza et de Snubklorg de se lancer.

Il était temps de se mettre en route.

Soyez précis et léger à la fois, il ne faut surtout pas poser le pied à terre, rappellez vous le poulet d'Oma.
Oma et le vieil homme ouvraient le chemin, suivit de pret par Agrid, les autres mages suivaient à bonne distance.
Les sauts de branche en branche amusaient beaucoup les mages. jusqu'au moment ou l'une d'entre elles se brisa sous le poids d'Agrid, le sorcier tomba cassant plusieurs branches sans sa chute, il se rattrapa in extrémis à une large branche.
Son visage était couvert d'arraflures.
Les mages inquiets avaient stoppé leurs courses

Agriiid ?

Le Roi mit quelques instant avant de se relever, la chute avait longue et douloureuse, sans son armure il aurait sûrement plusieurs cotes cassées. Le sang qui s'échappait des plaies d'Agrid avait attiré les féroces gnomes au sol.
Il se releva péniblement encore sonné de sa chute. Il leva la tête pour rassurer ses amis.

Il était temps de se remettre en route,

Continuez de la haut moi je reste à ce niveau !

Au moins je tomberais de moins haut la prochaine fois...

ca faisait déjà plusieurs heures que les mages avancaient, le sanctuaire devait etre proche désormais.

Les mages avançaient de plus en plus lentement. Non seulement la fatigue se faisait sentir, mais la distance entre les arbres augmentait et les branches se faisaient plus rare. Le risque de chute grandissait au fur et à mesure que les mages avançaient.

Dis Oma, t'avais pas dit qu'il n'y avait pas de sentier de ce coté si du bois? parce que là, il me semble en voir un...

En effet, un peu plus loin sur la gauche d'Agrid, les buissons dense au sol se dissipaient pour laisser entre apercevoir ce qui semblait être un sentier de fine pierre blanche, le même que celui qu'ils avaient pris la veille.

Oma suivit des autres mage descendirent de quelques branches afin d'avoir une meilleur vue.
On dirait bien que nous touchons au but!
Le mage se dirigeât au dessus du sentier, et regardât bien autour de lui en tendant l'oreille. Les autres mage firent silence afin d'écouté les bruits ambiants.
Rien... puis Oma, en regardant dans le bois fît un grand sourire. Il y avait là un petit groupe de Golem, dont l'un était plus gros et plus poilu que les autres et avait une cicatrice profonde au visage. Les deux êtres se regardaient quelques instants, avant que les Golem ne partent. Oma avait un sourire jusqu'au oreille alors qu'il posait le pied sur le sentier. Les Golem laissèrent entendre un grognement de mécontentement lourd lourd et terrifiant.

Oma fît un signe de main à ses compagnons pour leur indiquer que la voie était libre. Les mages était bien content d'enfin retrouver le plancher des vaches.

La noirceurs des bois laissait pénétrée une légère lumière, la sortie était là, si forte que les mages avait du mal à tenir les yeux ouvert. Il leur fallait faire attention à ne pas quitter le sentier quand tout à coups les yeux se posa sur un paysage paisible, ampli de lumière, de douceur et ou le chant des oiseaux se laissait entendre...

Oma posa le vieil homme. Celui-ci commençait à pleurer. il avançait pour rejoindre le coeur du sanctuaire. Oma le suivait en baissant la tête en signe de respect envers ce lieu.

Sur les stèles, les mages pouvaient voir deux sorte d'écritures. L'une d'elle leur glaçait le dos, les même que celle sur le coffre maudit!

Les autres était écrite dans la langue des anciens. Ici devait se trouver la clé de l'énigme!


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Le second post afin qu'il soit visible après l'image ;-)
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Agrid n'avait aucun doute, les mages marchaient bien dans les ruines d'un ancien chateau. A voir les immenses pilliers encore debout, ce chateau était bien grand que celui des Maitres du Temple.

Certe la végétation avait reprit ses droits mais le lieu avait encore toute sa magnificense. Sur certains décombre on pouvait voir des peintures sublimes.
Sur le flan de la montagne, il y a avait des statues immenses, elle représentaient les anciennes divinités.

La bataille qu'il y a eu ici a du etre terrible !

On pouvait encore sentir les reste d'une puissante magie noire.

Au détour d'un piller se trouvaient des ossemements de probablement ce qui était une femme et un enfant.

Aucune pitié, aucun survivant.


Agrid eu soudain une vision de son propre royaume, le chateau était en flamme, les villageois assassinés.

Jamais, je donnerais volontier ma vie pour protéger tout ca.

Le mage s'arreta un moment, posa sa main sur un pillier et regarda autour de lui. Tous les mages semblaient intriguiés par ce lieu, mais un en particulier semblait dévasté de voir tout ca.
Le vieil homme pleurait toute les larmes de son corps.

Que se passe t'il Oma ?

L'homme courrait de pillier en pillier et lisait toutes les inscriptions. Plus il lisait et plus il pleurait.

Dans le fond on pouvait voir un dernier mur debout. C'était très probablement une chapelle. Les corps sans vie de plusieurs personnes étaient la. L'un des cadavres portait un vieux grimoire, le vieil homme se jetta dessus.

Oma était troublé, il était souvent venu ici, les forces qui l'appelait l'avait même presque rendu fou, mais jamais il n'avait vu autant d'inscriptions, elles étaient comme enchantées. Oma comprit que la présence de ce vieil homme y était pour quelque chose. Mais qui étaient-ils? Et qui se cachait derrière ses morts?

Oma lu une un des textes proches de l'édifice principal de ce qui lui semblait être un hôtel de prière. La lecture de ses textes provoquât une ébullition de sentiment en Oma, que son énergie faisait des bonds, si bien qu'Agrid sa précipitât vers lui afin de savoir ce qui se passait. Oma ne répondant pas à ses questions, il se mît à lire les inscriptions qui étaient encore lisible:


...avons construit ce sanctuaire pour permettre à nos héritiers du temple....
...récupérer tout leur pouvoir pour la durée d'une lune, afin...... venir a bout de la malédiction.....
...nous libérer de notre sommeil....pour les aider, un être magique, guidé dans son retour par Maldeberg qui a gardé un peu de pouvoir... ...le djinn de la terre qui ne prit pas part au combat....... prisonnier des dieux... ...comme trophée de leur victoire... ...libéré l'âme, pour qu'elle puisse intégré ce corps que nous lui avons construit...


Oma avait comprît pourquoi il était si différent!

MALDEBERG!
Le vielle homme se retournât, il était complètement effondré

MALDEBERG!... Maldeberg!
Pardon, j'ai faillis à ma mission je devais te guider pour ton retour, les maîtres devait être prêt, ton évolution n'a pas pu se terminer comme elle le devait.

Maldeberg se souvenait, le reste de magie qui hantait les lieux lui avait permit de recouvrir la mémoire, il se mît à raconter son histoire…
Lorsque nous avons compris que nous étions sous l’emprise d’une malédiction, il nous a fallut un peu de temps avant de comprendre ce qu’elle était, et qui en était la cause. Une fois cela fait, il nous a fallut trouver l’endroit où nous devrions nous rendre pour nous en défaire. Cela nous a pris beaucoup trop de temps, nous n’étions plus assez forts pour nous battre, trop de notre magie avait déjà été absorbée. Les Ainés de notre clan ont alors décidé qu’il fallait se protégé et laisser le combat à d’autre afin de revenir plus tard. Le clan s’est alors séparé, Les uns ont semé les graines de notre renaissance, vous en l’occurrence, les autres ont préparé ce sanctuaire afin de pouvoir vous préparer au mieux à votre mission, et pour avoir plus de chance, il fallait combattre à arme égale avec notre adversaire. Pour cela, on a fait appel au dernier des Djinn qui existait encore dans notre monde, le Djinn de la terre, c’est toi Oma. Comme vous le savez surement, les Djinn vivaient sur terre bien avant nos dieux.
Les dieux n’existait pas en se temps là, c’était de simple homme, mais ceux-ci avide de pouvoir on monté les Djinns les un contre les autre et ont profité de cette guerre pour enfermer les Djinn dans un monde sans magie, sans pouvoir. Les hommes qui ont profité de cette guerre ont volé le pouvoir des Djinns, ce sont devenu des dieux. Ils se sont partagé le pouvoir et la magie. Seul un Djinn était resté à l’écart de cette guerre, du moins jusqu'à ce que ses congénères se soit fait envoyé dans cet autre monde. La rage t’as fait te battre sans faire attention, Oma, et ils t’ont vaincu. Ton corps fût détruit, et ton âme dispersé parmi les dieux. Nous avons du choisir chez quel dieux nous devions te faire revenir, notre choix fût l’ombre, car ta rage était encore si forte qu’on pouvait encore la sentir et donc te trouver facilement. De plus, le dieu de l’ombre était si sur de ses pouvoirs qu’il était moins attentif à nos agissement.
Étant le plus faible de notre cercle, je devais rester ici à attendre ton retour afin de te guider. Pour avoir plus facile, tu devais revenir en tant qu’enfant que je devais éduquer pour calmer ton coté noir. Mais voilà, le fait de réveiller ton âme, notre ennemi à pu sentir notre présence et celle du sanctuaire. Il a comprit ce que nous voulions faire. Il nous a attaqué et j’ai du fuir. J’ai caché ton pouvoir afin qu’il ne puisse plus te retrouver et t’ai confié à mes aide de camps. Ceux-ci avaient pour missions de te cacher chez un jeune maître que je connaissais.
Eux ont réussit, c’est déjà ça, même si le prix à payer fût si chère

Maldeberg ouvrit alors le manuscrit qui se trouvait là, et fit une invocation. Tous les mages se retrouvaient en pleine possessions de leurs pouvoirs augmentés des pouvoirs des anciens.
Aujourd’hui est une nuit de nouvelle lune. Vous avez jusqu'à la prochaine lune pour détruire le coffre. Pour cela vous devrez passer les gorges du diable. Celui qui se trouve là-bas a pour but de rassembler toutes la magie afin de se mesurer aux dieux et leur volé leur pouvoir. Oma, tu as le pouvoir de prendre les pouvoir magique qui sont à ta porté, c’est le dernier cadeau que je pouvais te faire avant de perdre ce qui me restait de magie et de raison. Mais une fois les pouvoirs du coffre absorbé, tu perdras cette maîtrise. Je te l’ai donné car je te fais confiance. Je sais que ta rage est dirigée contre ceux qui vous ont fait du mal. Je compte sur toi afin de poursuivre ton travail, rendre cette terre aussi belle que ce que tu l’as déjà fait.

Maldeberg fît une dernière invocation, et son corps se dissipât petit à petit


Voici votre destination, pour détruire le coffre vous devrez.....

... trouver la stèle interdite cachée derrière une des milles et unes cascades se trouvant dans le gouffre du diable à 1500 lieue d'ici ... si coeur pur vous anime, laissez le vous guider ... Mais méfier vous du gardien des lieux ...

J'ai entendu parler de cette légende

dit Snubklorg

on dit de cet endroit qu'un dragon d'eau gigantesque en garde l'accès et que nul ne peut accéder à la grotte qu'il protège ... mais ce ne sont que des légendes

dit Snubklorg l'esprit moqueur ...

A cet instant, Snubklorg sursauta, puis regardant de droite à gauche l'air perdu se mit à courir dans tout les sens.

il est devenu fou ?

s'exclamait Oma,

Puis Snubklorg s'engouffrait dans la ruine de ce qui devait être une hutte ...

Ne le voyant pas ressortir, ses amis s'y engouffrèrent également. Il furent surpris de voir Snubklorg à genoux sur le sol tenant dans ces mains les restes d'une enfant ... les larmes de Snubklorg perlaient sur son visage ...

Les autour du cou des restes de l'enfant, on pouvait remarqué le même collier que celui de Snubklorg ...

Ma soeur !!! Enfin je te retrouve !!!! trop ... trop tard !!!!!! AAAAAAAAAHHHHH !!!! JE TE VENGERAI !!!!

La tristesse de Snubklorg se transformait en rage, un vent terrifiant se levait brusquement et le ciel bleu et ensoleillé fût obscurcit par des nuages tempétueux ... Snubklorg perdait le contrôle ... les ruines chancelantes de la cités s'effondraient l'une après l'autre ...

Snubklorg était possédé d'une rage sans précédant, lui qui était si calme et rempli de bonté semblait changé en être obscure et cruel ...

D'un geste sec et rapide, il se retourna vers Agrid et Oma, les yeux coulant de larmes de sang il leur dit :

désolé, la vengeance m'appelle mes amis !!!! Adieu, nous nous retrouverons dans l'autre monde !!!!!

Et se téléporta en prenant soin d'effacer toute trace ... laissant ses amis dans la confusion totale ... Cette aura que Snubklorg dégageait avant de disparaître était bien la sienne ... mais jamais il n'avaient ressenti un telle haine venant du mage ...

"un dragon d'eau gigantesque"?
J'ai entendu parler de cette histoire.


Oma s'était assis par terre. Les pouvoirs donné par Maldeberg suis permettait de recouvrir sa mémoire et ses pouvoir. Il lui fallait digérer son passé. ses crainte de se faire vaincre se dissipait petit à petit. Il savait maintenant les erreurs du passé à ne pas commettre.

Son âme était immortel, son corps aussi... son vrai corps, pas ce corps d'emprunt fabriqué par les anciens. Il savait que ce corps ne pouvait contenir les pouvoir d'un Djinn tel que lui. Il lui faudrait retrouver son corps, mais cela attendrait. Lui qui ne pouvait pas mourir face à un homme, ni même un dieux en temps normal était ici en danger, car la magie utilisée n'était pas celle d'un homme ni d'un dieu, mais celle d'un Djinn, un de ses ancien compagnon. Car seul un Djinn peut tuer un autre Djinn.

Il est donc dans ce château...
Qui? quel château? demandait Agrid.
Tsercq. Ils est dans un chateau que vous dites maudit.
Nous, les Djinn, n'avons pas cette notion de bien et de mal que vous avez vous les Hommes. Nous agissons, c'est tout. Un de mes anciens compagnon s'amusait à prendre la vie des hommes, comme ça, par jeux. il ne les tuait pas, entendons nous bien, il prenait leur vie, les pensée, leur forces. Il ne restait alors de la victime que ses restes en poussière, et toute son eau se retrouvait dans le lac... le lac des larmes.
Se dragon serait la matérialisation des victimes qui protège non pas le château, mais ceux qui voudrait y pénétrer par vengeance, car celle-ci empêche de combattre de façon seine et ne peut mener qu'à sa propre perte.
Snubklorg ne craint rien, du moins rien de grave. Tant que la haine le motive, il sera bloqué à l'entrée. il s'épuisera, mais c'est tout ce qu'il risque.... si bien sur c'est là-bas qu'il est partit...


Oma restait là, assis par terre, face aux stèles en langage inconnu. Il commençait à ce souvenir... c'était leur langue.... il y a bien longtemps....
Les ancien avait recopier les écrits des Djinn relatant les événements de cette guerre qui vu l'apparition des dieux et l'enfermement des Djinns...

Oma n'était ni triste, ni faché. Pas une colère, pas une émotion, il était juste là, assis....

J'aimerais que tu dises vrai Oma, mais j'avoue avoir un peu peur pour Snubklorg, jamais il avait déployé une telle puissance, le pouvoir des anciens doit y être pour beaucoup.

Je me dis qu'avec autant de pouvoir, il pourrait être en mesure de battre le dragon gardien et d'avancer seul vers le chateau. Et nous savons tout les deux que si il se rend la-bas tout seul, il y laissera la vie.

Hâtons nous, ne perdons plus une seule seconde. La vie de notre ami en dépend !

Les mages fort de leurs nouveaux pouvoirs se mirent en route. La tempete que Snubklorg avait invoquée avait détruit le peu de pillier encore debout. La poussière dégagée par la chute de pierre masquait le soleil.

L'équipe avancait doucement...

Snubklorg avançait seul dans ce qui semblait être un canyon où des centaines de rivières coulait avec fracas et puissance.

Il sentait une magie puissante ruisseler dans l'eau, une magie douce mais dangeureuse à la fois.

Snubklorg marchait péniblement, s'accrochant au parois escarpées, cherchant des points d'appuis pour ne pas tomber dans la rivière. Car ce qui avait commencé par de petits ruisseaux, au fur et à mesure de l'avancée de Snubklorg s'était transformé en terrifiants torrents qui par leur grondements assourdissants, avertissaient le voyageur intrépide de son sort si il devait faire un faux pas.

Snubklorg arrivait enfin à l'endroit ou tout les torrents semblaient prendre leur source. Une immense montagne barrait le passage et l'eau semblait provenir du sommet de celle ci.

AAArgh !!! Il va falloir grimper tout la-haut !!!

Snubklorg s'assit pour prendre quelques repos. Alors qu'il méditait, Snubklorg fût saisit par le remords, il avait abandonné ses amis, mais il savait qu'il aurait du mal à contenir la puissance que sa mère lui avait donné quelques jours plus tôt. Retrouver les restes de sa soeur qu'il avait cherché partout des années durant, avait déclenché en lui quelque chose d'immense, incontrôlable, destructeur, il ne voulait pas risquer de blesser son roi, sa reine et ses amis.

Reposé, Snubklorg commençait l'ascension, il usait quelque peu de magie pour fabriquer des cordages car il savait que les siens ne tarderaient pas à arriver et tous n'avait pas le pied montagnard, les cordes les aideraient sûrement.

Il fallut près de 3 heures à Snubklorg pour arriver au sommet ou il fut émerveillé.

Ce lieu était imprégné de magie qui ressemblait au cratère d'un gigantesque volcan ou une végétation luxuriante s'était imposée. Des centaines de cascade coulait au fond du cratère et formaient un lac majestueux. Snubklorg qui aimait la beauté de la nature en fût ému.

Traversant les fougères et les orchidées sauvages rarissime, Snubklorg finit par atteindre le lac.

Ca y est, j'y suis, mon destin est devant moi

Le lac était immense mais peu profond, l'eau arrivait à la taille du mage qui s'avançait vers la plus grosse et imposante chute d'eau. Arrivé à proximité, une voix grave et inquiétante se fit entendre.

QUI EST TU ETRANGER ET QUE FAIS TU SUR MES TERRES ?

JE SUIS SNUBKLORG DU CLAN DES MAITRE DU TEMPLE !!! JE DOIS TROUVER LE PASSAGE POUR LIBERER MES AMIS DE LA MALEDICTION DU COFFRE ET VENGER L'AFFROND DU MAGE TSERQ

La chute d'eau se fendit à son milieu pour laisser apparaît la tête d'un gigantesque dragon d'eau. Ses yeux fixaient Snubklorg comme si ils scandaient le mage.

TON COEUR EST PUR ET NOBLE, MAIS TA MOTIVATION EST NOIRE ET EMPLIE DE HAINE !!! POUR CETTE RAISON, TU NE PASSERAS PAS !!!

C'EST CE QU'ON VA VOIR !! dit Snubklorg en dégainant son épée.

Snubklorg sentait bouillir l'énergie en lui, des vents tempétueux se mirent à hurler, des éclairs de rage semblaient émaner du mage, la magie qui coulait dans les veines du mage semblait être arrivé à son paroxysme ... Un éclair monumental fit trembler la terre à des centaines de kilomètres à la rondes.

Snubklorg était prêt. Le combat allait commencer ... ... ...

Agrid avait prît la tête de la troupe. Ce n’est que lorsque tous avaient quasi quitté ce qui restait du sanctuaire. Il vit Oma qui sortait la tête de sa cape. Il savait ce qu’il se passait quand Oma s’enfermait dans sa cape. Oma se mît debout et suivît la troupe. Son regard avait changé, son visage avait changé, son aura avait changé. Je ne sais pas combien de temps c’est écoulé pour toi mon ami, mais tu as bien changé. J’espère que ton caractère n’en aura pas trop pâtit.…

Il fallût plusieurs heures au mage pour atteindre les gorges du diable. Les mages étaient surpris de l’étroitesse des chemins qu’ils devaient maintenant emprunter. Le canyon qu’ils devaient traverser leur fît pensé à leur amis, il avait du passer par ici, ils espéraient tous qu’il s’en était sortit sans encombre.
Agrid s’arrêtât afin de préparer un cordage pour relier chacun des mages pour diminuer les risques de chute, mais Oma de s’arrêta pas. Il avançait comme si de rien n’était et remontait la colonne de magicien jusqu’à hauteur de Agrid.
Ce ne sera pas utile. Dit-il avant de poursuivre sa route droit devant, jusqu'à un rebord très étroit et fît un pas vers le vide…
OMA ! crièrent plusieurs mages.
Oma continuait sur sa lancée, alors que sous ses pas, un chemin se créait.
Les pouvoirs de combat d’Oma n’avaient pas beaucoup augmenté, mais il avait retrouvé ses pouvoirs de création de Mère nature. Il redessinait le paysage au fil de ses besoins. Des chemins larges et stables apparaissaient devant les mages.
Voilà qui est bien pratique !pensait Agrid.
La troupe eut alors vite fait de rejoindre la montagne. Oma dessinât des marches dans le flan, et se servit des cordages laissé par Snubklorg comme rampe.
Une fois arrivé au sommet, les mages se posèrent afin de reprendre des forces. Les marches avaient facilité l’ascension, mais la fatigue se faisait quand même sentir. Une fois leurs forces retrouvées, la troupe se remis en route jusqu’au lac où ils trouvèrent leur ami allongé sur le bord les pieds encore dans l’eau. Il n’était pas blessé, il dormait, il dormait simplement.
Agrid fût heureux de retrouver son ami sain et sauf, mais lorsqu’il posât sa main sur l’épaule de son amis, celui-ci se relevât en sursaut Non !!...

Agrid stoppa les ardeurs de Snubklorg. Il le plaqua au sol avec ses mains fermement posées sur les épaules de son ami.

C'est moi, regarde nous sommes tous la. Calmes toi, oublis toute cette haine, ca ne te ressemble pas, retrouves ton coeur pur, ce n'est qu'a cette condition que le dragon nous laissera passer.

Snubklorg acquiesca d'un signe de tête.

Ils se relevèrent tout les deux, le dragon leur faisait face. Il n'avait pas dit un mot.

Cette créature est gigantesque

Agrid compris très rapidement que combattre ce dragon lui couterait la vie. Malgrès le pouvoir des anciens que le mage sentait couler dans ses veines, ce dragon était bien plus puissant.

Pour vous laissez passer, je dois m'assurer que vos coeurs sont pur alors pardonnez moi.

Agrid se retourna vers ses amis, il ne comprennait pas les excuses de la créature.

Le seul moyen de connaitre véritablement quelqu'un c'est de le combattre

Agrid se retourna très vite mais c'était trop tard, le dragon avait déjà lancé son attaque, le mage l'a recu en pleine poitrine, elle fut si violente qu'il fit des ricochets sur le lac.
Son armure pourtant si solide était fissurée sous l'impact.

Agrid se releva peniblement, la main posée sur son torse, il cracha du sang.

Ne répliquez surtout pas !

Agrid avait bien senti la puissance du dragon mais il n'aurait jamais penser se faire battre en un seul coup.
Tu tires ta force de toute les âmes innocentes qui te compose.

Voila la leçon que tu voulais me donner. A coeur pur rien d'impossible.

Agrid était blessé, il avait beaucoup de mal à reprendre son souffle mais si il retenir qu'une seul chose de ses échanges avec Oma, c'était bien que la force ne suffisait pas toujours et que parfois il vallait mieux parler son coeur que ses muscles.

Il déposa les armes et tomba a genoux devant le dragon.

Oma n'avait pas bougé, Moroza protégait toujours le coffre et Kalys ne pouvait cesser de regarder Agrid.

Ce dragon n'est pas notre ennemi, ne cherchez pas à vous venger, ne perdez pas de vue notre objectif

C'en est assez! pensa Oma. Il se dirigeât vers Agrid et le soignât. Les autres mages était surpris de la puissance du Dragon. Agrid était puissant, mais cela n'avait pas empêché le dragon de le mettre à terre en un coup.
Retourne parmi les autres dit Oma à Agrid

Ensuite, il prononçât une phrase dans une langue inconnue des mages. Le dragon qui était jusque là impassible même dans ses attaques semblât se charger de colère, le lac tout entier tremblait, un vrombissement lourd se faisait entendre.

Je suis Oma de Sala, je suis un Djinn! Tu n'es fait que d'humains et toi aussi tu connais l'erreur de la colère et de la vengeance! criât Oma
Les grondements cessèrent de s'accentuer, pour ensuite s'estomper. Le dragon avait à nouveau son air impassible, même si la puissance qui émanait du dragon restait des plus terrifiante.
Oma se remît à parler à voix normale.
Nous avons deux possibilités qui s'offre à nous, soit on entame un combat qui quelque soit le vainqueur n'apportera que la défaite à tous, soit nous continuons notre chemin et nous mettons un terme à tous ceci.

Le dragon regardât longuement les mages avant de se jeter sur Oma et les autres mage qui se trouvaient juste derrière lui.

Ce n'est qu'a quelque centimètre d'Oma que toute la puissance de Dragon disparût et que celui-ci redevînt simple eau qui vînt s'écraser sur les mages. Ils avaient le droit de traverser, mais ils étaient avertis, la suite serait pénible.

Oma baissât la tête et se mit en route, son aura se refermait sur lui-même. Tous savaient que maintenant, il n'y aurait plus de cadeau. Chaque ennemi défendrait cher sa peau pour empêcher quiconque d'approcher du château...

[hrp]Bon, vous semblez pas motivé, alors je relance...[/hrp]

Les mages suivaient Oma dans la traversée du lac. L'autre rive du lac donnait dans des gorges sombre. la profondeur devenait trop profonde que pour pouvoir poursuivre dans l'eau, mais les parois des gorges présentaient de larges sentiers. Après une longue marche, les gorges se refermaient, l'eau disparaissait face à une paroi abrupte avec à quelque mètres de hauteur une caverne sombre. Les mages pénétrèrent la grotte. Celle-ci n'était pas très profonde, et donnait sur une forêt presque aussi sombre que la grotte qu'ils venaient de passer, les arbres était pourtant espacé et ne semblait pas couvrant. C'est en levant les yeux que les mages ont pu voir que le ciel était noir. il était pourtant encore tôt, mais ici il faisait noir.

les mages avançaient prudemment. Quelque instant plus tard, un bruit de pas se fît entendre.... non, pas un bruit de pas, mais des centaine de pas, des milliers de pas.
Une horde de golem fonçaient vers les mages. les golems n'étaient pas forts, mais leur nombres était incroyablement élevé. Les mages se préparaient, et dès que les premiers golem furent à porté, les attaques furent lancées...

À l'approche des golems, Moroza lanças 3 sorts d'implosion qui fit reculer une quinzaine de golems pour lui laisser le temps de planquer le coffre de façon à ce qu'il ne soit pas dans les jambes durant le combat et de fait même, être inaccessible au golem.

Entre temps, les autres mages combattaient déjà une trentaine de golems chacun.

Après plusieurs minutes de combat, la fatigue commençais à se faire ressentir chez les mages.
Il y avait déjà de 200 à 300 golems de décapiter gisants sur le sol et il y en restaient encore 10x plus qui fonçaient sur eux avec des dagues, Morgenstern, gourdin, masse d'arme et autres.

je ne veux pas être pessimiste mais il faudrait que quelqu'un trouve une bonne idée pour nous sortir de cette impasse si vous ne voulez pas finir en brochette.
Quelque instant après que Moroza eu parlé, Oma prononça quelques mots incompréhensibles et la terre se mit à trembler.

Débalancé par le tremblement terre, Moroza perdit pied tomba à genoux sur le sol. Au même moment 5 golems se jeta sur lui et l'assomma de plusieurs coups de gourdin en arrière de la tête.
Agri....

L'armée de golem était impressionnante, rarement Agrid avait vu autant d'ennemis d'un coup.

Le combat commenca également pour le mage et celui ci avait un large sourire sur le visage.

Je vais enfin pouvoir tester mes nouveaux pouvoirs.

Les golems étaient des créatures chétives sans armures et leurs pouvoirs étaient presque nul. Majgrès leur surnombre c'était un combat facile pour les mages.

Agrid commenca sa distribution de coup de d'épée, une tête, un bras, une jambes, tous les ennemis à porté de sa lames étaient mort.

C'est le moment


Il leva sa main en l'air, se concentra une seconde puis il la posa violament au sol. Un grondement sourd se fit entendre. les ennemis stoppèrent leur attaque. La terre battue se changea en braises ardentes. On pouvait voir les monstres fuir le combat et ceux qui étaient trop loin brulaient dans d'attroces cris de douleurs.

Le mages était satisfait, il regarda autour de lui pour voir comment ses amis s'en sortait. Il restait encore une dizaine de golem aglutiné sur un endroit. Soudain une explosion se fit entendre et tous les monstres étaient projetés en l'air leur corps complètement déchiqueté. Quand la poussière retomba, Agrid vu Moroza fou de rage.

Ses pouvoirs ont largement augmenté à lui aussi.

Il est temps de se remettre en route.

Kalys invoca une puissante tornade pour dégager un passage entre les braise, un couloir assez étroit d'environ trois mètres. Le reste des braises prirent feu éclairant ainsi le chemin.

Les mages se mirent en route et marchèrent quelques heures, l'air qu'ils respiraient sentait la chaire brulée. L'obscurité devenait de plus en plus oppressante, le feu éclairait le chemin mais il était impossible de voir au dela.

Soudain un bruit sourd se fit entendre, puis un second et un troisième.

J'ai un mauvais présentiment, préparez vous à défendre vos vies.

Agrid se baisa au dernier moment pour esquiver un enorme rocher.

Une telle puissance, ca ne peut etre que des trolls de combats...

Ces ennemis sont bien plus puissant que les gnomes, leurs attaques sont dévastatrices, leurs forces impressionnates et leurs lourdes armures les rendent insensibles aux attaques physiques.

Le premier des trois troll traversa sans problème la faible barrière de feu, il bouchait le chemin. le second leur bloquait toute retraite. Un bruit peu rassurant se fit entendre, le son d'une lame tranchant l'air. Les mages levèrent le tête et eurent à peine le temps de sauter. Le troisième troll avait lancé un puissant coup d'épée séparant les mages en deux petits groupes.
D'un coté il y avait oma, Kalys et Snubklorg, de l'autre Moroza et Agrid.

Malgré leur puissance, l'imposante taille de ces trolls était justement leur point faible. Ils étaient lents dans leur déplacement.

GRARCHKKKh ! Un nuage de poussiere entourait Kalys. Un gigantesque pied venait de s'écraser où elle se tenait quelques instants plus tot.

Persuadé d'avoir l'avoir transformé en crèpe, le Troll tentait de poursuivre Oma. Furieuse, Kalys posa à main sur le sol tout comme Agrid l'avait fait plus tot.

Une magie dont elle n'avait pas pris conscience se révéla en elle. Encore plus puissante et dévastatrice qu'il puisse être possible d'imaginer.

Elle appellait l'esprit a terre. Fermant là demi les paupières, elle se projeta mantalement dans chaque poussière. Son pouvoir parcourait maintenant chaque parcelle du sol pour se diriger vers le Troll.

Quand brusquement, l'imposante masse s'enfonça dans le sol. Déstabilisé, il tenta de faire un pas en avant les ses genoux avaient déja disparu dans des sables mouvant.
Ses hurlements de rages raisonnaient, en vain.

Kalys savourait cette nouvelle faculté, mais Agrid était en mauvaise posture.

Moroza faisait face à un des trolls, les sorts qu'il lui lancait affaiblissaient petit à petit cet adversaire.

Trop concentré pour se rendre compte de ce qui se passait dans son environnement, Moroza avait oublié le second ennemi. Celui ci porta une puissante attaque, son épée déchira l'air et au dernier moment Agrid poussa Moroza pour qu'il ne finisse pas en charpie. Les deux mages étaient au sol mais c'est sur Agrid que l'imposante créature posa son pied.

Sans son armure, le mage serait mort par écrasement.

Il planta sa dague dans le pied de la bête tandis que Moroza contenait l'autre créature. Insensible à la douleur le troll appuya encore un peu plus son pied sur le mage, sous cette charge, la terre se fissura et Agrid commenca à enfoncer dans le sol.

oublis les lames et concentres toi.

le sorcier posa sa main sur le pied de la bête, la température baissa d'un coup, quelques flocons de neige tombèrent, le troll leva la tête vers le ciel et comprit qu'il devait en finir rapidement avec le mage, il leva son épée pret à transpercer Agrid mais c'était trop tard, le troll était prisonnier dans un cercueil de glace, incapable de bouger.

Oma sortit son sabre et décapita l'ennemi. La glace avait terriblement fragilisé la créature et donc sous l'impact de cette attaque, les restes du troll explosèrent dans les airs.

Moroza luttait toujours avec le dernier ennemi encore debout.